Qu'ont donné les précédentes privatisations ?

© MICHAEL SAWYER/AP/SIPA
Faut-il investir et acheter des actions de la FDJ au regard des précédentes privatisations ? "Historiquement, ça n'a jamais été très performant", reconnaît Alexandre Baradez du courtier en ligne IG. Comme le rappelait récemment Les Échos, Thomson Multimedia, introduit en Bourse en 1999, a vu son cours passer de 300 à 25 euros en 2008 "pour finir à autour de 1 euro". Même son de cloche pour EDF en 2005, se remémore le quotidien. "Pour EDF, il est clair que le bilan global n'est pas terrible, mais dans les mois qui ont suivi l'entrée en Bourse, le cours de l'action EDF a atteint plus de 80 euros", rappelle Alexandre Baradez. A titre indicatif, le prix de l'action d'EDF était initialement de 32 euros. Il avoisine aujourd'hui les 9 euros. Les interlocuteurs que nous avons contactés nuance leur propos, insistant sur le fait que la situation n'est pas comparable. "La comparaison avec EDF ne tient pas", assure Charles-Henri d'Auvigny, président de la F2iC. "Elle a connu un vrai succès populaire, notamment grâce à la mobilisation des banques. Je doute du succès espéré de la privatisation de la Française des Jeux. Vous avez été appelé par votre banque vous ?". 
Faut-il investir et acheter des actions de la FDJ au regard des précédentes privatisations ? "Historiquement, ça n'a jamais été très performant", reconnaît Alexandre Baradez du courtier en ligne IG. Comme le rappelait récemment Les Échos, Thomson Multimedia, introduit en Bourse en 1999, a vu son cours passer de 300 à 25 euros en 2008 "pour finir à autour de 1 euro". Même son de cloche pour EDF en 2005, se remémore le quotidien. "Pour EDF, il est clair que le bilan global n'est pas terrible, mais dans les mois qui ont suivi l'entrée en Bourse, le cours de l'action EDF a atteint plus de 80 euros", rappelle Alexandre Baradez. A titre indicatif, le prix de l'action d'EDF était initialement de 32 euros. Il avoisine aujourd'hui les 9 euros. Les interlocuteurs que nous avons contactés nuance leur propos, insistant sur le fait que la situation n'est pas comparable. "La comparaison avec EDF ne tient pas", assure Charles-Henri d'Auvigny, président de la F2iC. "Elle a connu un vrai succès populaire, notamment grâce à la mobilisation des banques. Je doute du succès espéré de la privatisation de la Française des Jeux. Vous avez été appelé par votre banque vous ?". 
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