Dacia Sandero : l'essai complet Design
Dès le premier regard, la Sandero surprend par la modernité de ses lignes. Son design est résolument plus séduisant que celui de la Logan : les formes sont moins carrées, la carrosserie est plus travaillée.
Les arrêtes et les nervures sont nombreuses. La silhouette est élancée et les proportions sont agréables. Les optiques de phares sont élégants. Du coup, la compacte roumaine ressemble plus à une Renault qu'à une Logan. C'est une agréable surprise et la qualité perçue y gagne.
L'extérieur de la Sandero ne ressemble pas du tout celui d'une "voiture bon marché" : les pare-chocs peints et les jantes aluminium (option) flattent le regard. Seuls les rétroviseurs, les poignées de porte et les bas de caisse en plastique brut trahissent le tarif discount de cette compacte.
Les voies élargies, les pare-chocs enveloppants et la grille de radiateur en nid d'abeille augmentent le dynamisme et la sportivité de la ligne. La Sandero soigne son esthétique mais l'aspect massif de l'arrière rappelle ses proportions relativement imposantes.
Dans le flot de la circulation, la compacte Dacia est plus grosse qu'une citadine et s'apparente à une compacte généreuse avec une garde au toit et une largeur conséquentes.
Dimensions et poids
La Sandero mesure 1.75 mètres de hauteur pour 4.02 mètres de long et 1.75 mètres de large. A titre de comparaison, une Clio III mesure 1.49 mètres de haut pour 3.99 mètres de long et 1.71 mètres de large.
La compacte Dacia pèse à vide 980 kgs.