Véritable dieu au Japon

Paul Bocuse posait avec la mascotte du guide Michelin, Bibendum, à Tokyo, lors de l'annonce de la première édition du guide Michelin Tokyo en 2007. © AFP
Au Japon, la présence de Paul Bocuse déclenchait des attroupements comme s'il était une star de cinéma.

Le site Atabula avait dévoilé une anecdote assez croustillante à ce sujet : des chefs japonais lui auraient demandé s'il pouvait leur envoyer quelques-uns de ses vêtements non lavés afin de disposer de son odeur sur le tissu. 

Tout avait commencé quand le directeur de la chaîne de grands magasins Daimaru lui proposa de disposer d'un corner "produits français" au sein de ses boutiques. Il avait ensuite continué à se faire connaître en ouvrant des boulangeries-pâtisseries et des épiceries fines. Paul Bocuse avait depuis installé cinq restaurants à Tokyo. 
Au Japon, la présence de Paul Bocuse déclenchait des attroupements comme s'il était une star de cinéma. Le site Atabula avait dévoilé une anecdote assez croustillante à ce sujet : des chefs japonais lui auraient demandé s'il pouvait leur envoyer quelques-uns de ses vêtements non lavés afin de disposer de son odeur sur le tissu.  Tout avait commencé quand le directeur de la chaîne de grands magasins Daimaru lui proposa de disposer d'un corner "produits français" au sein de ses boutiques. Il avait ensuite continué à se faire connaître en ouvrant des boulangeries-pâtisseries et des épiceries fines. Paul Bocuse avait depuis installé cinq restaurants à Tokyo. 
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