Il s'est prononcé en faveur de l'indépendance de l'Ecosse

Andy Murray avec le drapeau britannique aux JO 2012. © RICHARD PELHAMTHE SUN/SIPA
L'attachement d'Andy Murray à l'Ecosse, son pays de naissance, a fait l'objet de plusieurs controverses depuis le début de sa carrière. En 2006, alors que la Coupe du monde de football vient de démarrer, il se livre à un petite interview décalée avec l'ancien tennisman Tim Henman et lâche : "Je soutiens quiconque joue contre l'Angleterre". Problème, cette blague n'est pas tout reçue comme telle et crée un mini-scandale outre-Manche, où on le taxe même de racisme anti-anglais.

Murray se fera ensuite plus discret à ce sujet mais en 2014, au moment du référendum sur l'indépendance de l'Ecosse, il écrit sur Twitter le jour du vote : "Grand jour pour l'Ecosse aujourd'hui ! La négativité de la campagne pour le non a totalement fait basculer mon opinion. Hâte de voir le résultat. On peut le faire !". Cela ne l'empêchera d'être nommé porte-drapeau de la Grande-Bretagne aux JO 2016...
L'attachement d'Andy Murray à l'Ecosse, son pays de naissance, a fait l'objet de plusieurs controverses depuis le début de sa carrière. En 2006, alors que la Coupe du monde de football vient de démarrer, il se livre à un petite interview décalée avec l'ancien tennisman Tim Henman et lâche : "Je soutiens quiconque joue contre l'Angleterre". Problème, cette blague n'est pas tout reçue comme telle et crée un mini-scandale outre-Manche, où on le taxe même de racisme anti-anglais. Murray se fera ensuite plus discret à ce sujet mais en 2014, au moment du référendum sur l'indépendance de l'Ecosse, il écrit sur Twitter le jour du vote : "Grand jour pour l'Ecosse aujourd'hui ! La négativité de la campagne pour le non a totalement fait basculer mon opinion. Hâte de voir le résultat. On peut le faire !". Cela ne l'empêchera d'être nommé porte-drapeau de la Grande-Bretagne aux JO 2016...
© RICHARD PELHAMTHE SUN/SIPA