Valérie Trierweiler : fâchée avec les enfants de Hollande ?

Valérie Trierweiler : fâchée avec les enfants de Hollande ? Jusqu'à aujourd'hui, les relations étaient cordiales entre Thomas, Clémence, Julien et Flora, les enfants de François Hollande, et sa nouvelle compagne, Valérie Trierweiler. Mais les législatives auraient tout changé.

Alors que les relations entre Valérie Treirweiler et les quatre enfants du couple Royal-Hollande étaient au beau fixe avant l'investiture, elles se seraient considérablement dégradées depuis. La succession de petites polémiques depuis la présidentielle y est pour beaucoup. Mais le tweet pro-Falorni de Trierweiler entre les deux tours des législatives aura été la goutte d'eau pour Thomas, Clémence, Julien et Flora. Un "intime", cité par le JDD, le confirme : "depuis mardi [et le tweet] tout a changé".

Thomas Hollande notamment, qui avait activement participé aux dernières campagnes des ses deux parents, n'aurait plus de contact avec Valérie Trierweiler depuis plusieurs jours. Le 17 juin, lors du second tour des législatives, il a passé l'après-midi avec sa mère, Ségolène Royal, pour la soutenir à La Rochelle. Lors d'un récent déplacement, François Hollande a été vu avec l'une de ses filles seule, alors que la Première dame était elle aussi attendue aux côtés du chef de l'Etat. Une nouvelle étape dans la crise familiale du président de la République, plusieurs fois bousculé ces derniers mois par le comportement de sa compagne ?

Depuis le 6 mai, François Hollande et Jean-Marc Ayrault avaient presque réussi un sans faute politique. Evitant à tout prix de braquer l'opinion avant les résultats définitifs des législatives, ils ont lancé des réformes populaires et mis en stand-by les dossiers les plus difficiles à avaler. Surtout, ils avaient échappé jusqu'à présent à la boulette qui provoquerait un retournement électoral dans les urnes les 10 et 17 juin. Sans pour l'instant changer la donne politique, ladite "boulette" a pourtant eu lieu. Et elle est venue de là où on ne l'attendait pas.

Alors que François Hollande voulait rompre avec Nicolas Sarkozy en évitant à tout prix de mettre en avant sa vie privée, sa compagne Valérie Trierweiler a décidé d'exister lors de ce quinquennat. Et déjà pour le meilleur comme pour le pire... Le 6 mai, on la surprend par exemple sur la scène de la Bastille ordonner à Hollande : "embrasse-moi maintenant". Stratégie de communication ou domination de la Première dame sur son compagnon ? Dans les deux cas ce "baiser" forcé fait mauvais genre. Plus tard, on apprendra que c'est Valérie Treirweiler qui a interdit à Julien Dray, ancien fidèle du couple Royal-Hollande, d'entrer au QG de transition. Sa faute : avoir invité DSK à son anniversaire entre les deux tours de la campagne. Encore une fois, la poigne de Trierweiler étonne dans les médias.

Depuis la prise de fonction de François Hollande, Valérie Treirweiler a de nouveau fait parler d'elle, et pas qu'un peu. Celle qui veut à tout prix rester journaliste malgré sa position à l'Elysée, a fait scandale lors des législatives en soutenant dans un tweet Olivier Falorni, le rival de Ségolène Royal à La Rochelle, entre les deux tours de l'élection. Et le "tweetgate" ou "trierweilergate" a cette fois fait exploser le buzz. Non seulement sa jalousie tenace est apparue au grand jour (Hollande a soutenu Royal sans prévenir sa compagne, ce qui aurait mis Trierweiler dans une colère noire). Mais, plus grave, la position de "faiblesse" de François Hollande, entre son ex et sa nouvelle compagne, a été soulignée dans les médias.

"Trierweiler encourage l'adversaire de Royal : la polémique"