Georges Kuzmanovic, pour une "République souveraine"

A Paris, le 8 décembre 2020. Georges Kuzmanovic est le président du parti la République Souveraine, créé en 2019. © Pablo Porlan / Hans Lucas via AFP
  • Qui est-il ?
Né à Belgrade il y a 48 ans, passé par l'humanitaire (Congo, Rwanda...) et l'armée de terre française (Afghanistan...), il intègre en 2008 le Parti de gauche créé par Jean-Luc Mélenchon après le départ du PS de ce dernier. Après avoir officié au service d'ordre du mouvement, il devient en 2013 secrétaire national du parti en charge des questions internationales et de défense. Controversé pour sa ligne souverainiste ou ses propos sur l'immigration, il s'en va en 2018 et fonde son propre mouvement en 2018, République souveraine
  • Sa ou ses principales propositions ? 
Son slogan de campagne ? "Reprendre le contrôle". Il défend la sortie de la France de l'UE et de la zone euro par référendum, le RIC (référendum d'initiative citoyenne), un "retour du service national militaire d'un an, obligatoire et mixte", ou encore une sortie de l'Otan.
  •  Quelles chances d'avoir les 500 signatures ? 
Au 10 février, Georges Kuzmanovic rassemblait 27 parrainages validés, selon le Conseil constitutionnel. 
  • Qui est-il ?
Né à Belgrade il y a 48 ans, passé par l'humanitaire (Congo, Rwanda...) et l'armée de terre française (Afghanistan...), il intègre en 2008 le Parti de gauche créé par Jean-Luc Mélenchon après le départ du PS de ce dernier. Après avoir officié au service d'ordre du mouvement, il devient en 2013 secrétaire national du parti en charge des questions internationales et de défense. Controversé pour sa ligne souverainiste ou ses propos sur l'immigration, il s'en va en 2018 et fonde son propre mouvement en 2018, République souveraine. 
  • Sa ou ses principales propositions ? 
Son slogan de campagne ? "Reprendre le contrôle". Il défend la sortie de la France de l'UE et de la zone euro par référendum, le RIC (référendum d'initiative citoyenne), un "retour du service national militaire d'un an, obligatoire et mixte", ou encore une sortie de l'Otan.
  •  Quelles chances d'avoir les 500 signatures ? 
Au 10 février, Georges Kuzmanovic rassemblait 27 parrainages validés, selon le Conseil constitutionnel. 
© Pablo Porlan / Hans Lucas via AFP