Anasse Kazib, le cheminot candidat de Révolution permanente

Le candidat marxiste d'extrême-gauche à la présidentielle Anasse Kazib, lors d'une réunion publique à l'Institut d'études politiques de Bordeaux, le 24 novembre 2021. © UGO AMEZ/SIPA
  • Qui est-il ?
Cheminot aiguilleur à la gare de triage du Bourget, au nord de Paris, il est connu, à 35 ans, pour ses coups de gueule en tant que militant syndical Sud-Rail lors des mouvements contre la loi travail (2016), la réforme de la SNCF (2018) ou des retraites (2019) ou encore les "gilets jaunes".  "Marxiste" revendiqué, il militait au NPA (Nouveau Parti anticapitaliste, extrême gauche) depuis 2017, à la branche Révolution permanente (CCR). Cette dernière a fait scission le 10 juin 2021, suite à sa candidature. Issu d'une famille d'immigrés marocains arrivés en France dans les années 70, il  a grandi à Sarcelles (Val d'Oise). 
  • Sa ou ses principales propositions ? 
L'interdiction des licenciements, la "nationalisation sous contrôle des travailleurs et des usagers de services essentiels comme l'énergie et les transports" et le "retrait immédiat des troupes impérialistes françaises de l'ensemble de l'Afrique et du Moyen-Orient." 
  •  Quelles chances d'avoir les 500 signatures ?
Au 10 février, son nombre total de parrainages validés se chiffrait officiellement à 99.
  • Qui est-il ?
Cheminot aiguilleur à la gare de triage du Bourget, au nord de Paris, il est connu, à 35 ans, pour ses coups de gueule en tant que militant syndical Sud-Rail lors des mouvements contre la loi travail (2016), la réforme de la SNCF (2018) ou des retraites (2019) ou encore les "gilets jaunes".  "Marxiste" revendiqué, il militait au NPA (Nouveau Parti anticapitaliste, extrême gauche) depuis 2017, à la branche Révolution permanente (CCR). Cette dernière a fait scission le 10 juin 2021, suite à sa candidature. Issu d'une famille d'immigrés marocains arrivés en France dans les années 70, il  a grandi à Sarcelles (Val d'Oise). 
  • Sa ou ses principales propositions ? 
L'interdiction des licenciements, la "nationalisation sous contrôle des travailleurs et des usagers de services essentiels comme l'énergie et les transports" et le "retrait immédiat des troupes impérialistes françaises de l'ensemble de l'Afrique et du Moyen-Orient." 
  •  Quelles chances d'avoir les 500 signatures ?
Au 10 février, son nombre total de parrainages validés se chiffrait officiellement à 99.
© UGO AMEZ/SIPA