Alexandre Langlois, le policier syndicaliste breton

Alexandre Langlois, Secrétaire général du syndicat Vigi police, à Paris, le 25 septembre 2018. Le policier défend une candidature libre, hors système et sans étiquette à la présidentielle. © IBO / SIPA
  • Qui est-il ?
Policier et militant syndical, il est aussi, à 39 ans, secrétaire général du syndicat Vigi (ex-CGT-Police). En mars 2021, il se fait révoquer de la police nationale après une carrière bien notée au sein des services de renseignement, pour ses vives critiques à l'égard de sa hiérarchie et sa dénonciation des dérives de l'institution policière, dans le sillage de l'affaire Michel Zecler. En 2017, il se présente aux législatives sous la bannière LFI. Depuis 2020, il est conseiller municipal sans étiquette à Malansac (Morbihan), et porte une candidature à la présidentielle "ni de droite ni de gauche" via son parti Refondation
  • Sa ou ses principales propositions ? 
"La rédaction d'un nouvel article 89 de la Constitution, pour qu'elle ne puisse plus être changée sans un référendum et que les citoyens puissent aussi avoir l'initiative des propositions", déclare-t-il sur son compte Twitter, en se référant au RIC (référendum d'initiative citoyenne).
  •  Quelles chances d'avoir les 500 signatures ?
Au 10 février, le Conseil constitutionnel ne lui comptabilisait aucun parrainage validé.  
  • Qui est-il ?
Policier et militant syndical, il est aussi, à 39 ans, secrétaire général du syndicat Vigi (ex-CGT-Police). En mars 2021, il se fait révoquer de la police nationale après une carrière bien notée au sein des services de renseignement, pour ses vives critiques à l'égard de sa hiérarchie et sa dénonciation des dérives de l'institution policière, dans le sillage de l'affaire Michel Zecler. En 2017, il se présente aux législatives sous la bannière LFI. Depuis 2020, il est conseiller municipal sans étiquette à Malansac (Morbihan), et porte une candidature à la présidentielle "ni de droite ni de gauche" via son parti Refondation. 
  • Sa ou ses principales propositions ? 
"La rédaction d'un nouvel article 89 de la Constitution, pour qu'elle ne puisse plus être changée sans un référendum et que les citoyens puissent aussi avoir l'initiative des propositions", déclare-t-il sur son compte Twitter, en se référant au RIC (référendum d'initiative citoyenne).
  •  Quelles chances d'avoir les 500 signatures ?
Au 10 février, le Conseil constitutionnel ne lui comptabilisait aucun parrainage validé.  
© IBO / SIPA