Un réseau social made in Daesh

Une manière de lutter contre la collaboration des plateformes classiques avec les autorités. © AFP
En mai 2017, le directeur d'Europol Rob Wainwright a indiqué que Daesh avait mis sur pied son propre réseau social pour la diffusion de sa propagande. L'idée : se passer de plus en plus des réseaux traditionnels (Twitter, Facebook…) ou des applications d'échange cryptées (Telegram…) pour échapper à la coopération qu'entretiennent ces plate-formes avec les autorités, contre Daesh. En évoquant la création de ce nouveau réseau social, lors d'une conférence à Londres, le patron d'Europol a précisé : "Cela montre que certains membres de Daech continuent d'innover dans cet espace". Pour Reuters, le fait pour l'EI de disposer d'un réseau social à usage exclusif prouve également la capacité d'adaptation des jihadistes face aux actions communes des services de police, des agences de renseignement et du secteur des technologies.
En mai 2017, le directeur d'Europol Rob Wainwright a indiqué que Daesh avait mis sur pied son propre réseau social pour la diffusion de sa propagande. L'idée : se passer de plus en plus des réseaux traditionnels (Twitter, Facebook…) ou des applications d'échange cryptées (Telegram…) pour échapper à la coopération qu'entretiennent ces plate-formes avec les autorités, contre Daesh. En évoquant la création de ce nouveau réseau social, lors d'une conférence à Londres, le patron d'Europol a précisé : "Cela montre que certains membres de Daech continuent d'innover dans cet espace". Pour Reuters, le fait pour l'EI de disposer d'un réseau social à usage exclusif prouve également la capacité d'adaptation des jihadistes face aux actions communes des services de police, des agences de renseignement et du secteur des technologies.
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