Est-ce comparable à la crise de 2008 ?

© LEE/COLOR CHINA PHOTO/SIPA
"La crise que nous connaissons n'a rien à voir avec la crise de 1929 ou de 2008", martèle Yannick Hamon, fondateur de Meilleurplacement.com. "Nous avons appuyé sur l'interrupteur. Cela fait une sacrée différence, c'est un acte volontaire, certes un acte subi mais qui reste volontaire". 

"Il faut se sortir de la tête la crainte d'une faillite des banques françaises", acquiesce Karl Toussaint du Wast, cofondateur de Netinvestissement. "En revanche, il y a un risque plus subtil, c'est le risque pour le pays. Si on continue à avoir une attitude anti-civique, en alimentant son livret A par exemple, on ne fait qu'alimenter les fonds propres de sa banque. Cela n'a aucun intérêt. Individuellement, nous avons un devoir fort dans la relance économique de notre pays".
"La crise que nous connaissons n'a rien à voir avec la crise de 1929 ou de 2008", martèle Yannick Hamon, fondateur de Meilleurplacement.com. "Nous avons appuyé sur l'interrupteur. Cela fait une sacrée différence, c'est un acte volontaire, certes un acte subi mais qui reste volontaire".  "Il faut se sortir de la tête la crainte d'une faillite des banques françaises", acquiesce Karl Toussaint du Wast, cofondateur de Netinvestissement. "En revanche, il y a un risque plus subtil, c'est le risque pour le pays. Si on continue à avoir une attitude anti-civique, en alimentant son livret A par exemple, on ne fait qu'alimenter les fonds propres de sa banque. Cela n'a aucun intérêt. Individuellement, nous avons un devoir fort dans la relance économique de notre pays".
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