Moins de frites dans les restaurants ?

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Au delà de la pénurie, l'autre conséquence est l'envolée des cours... et donc des tarifs in fine pour les consommateurs. "Tout le monde fait des stocks, il y a pénurie, et donc les prix augmentent encore", explique à France-Bleu Alsace Jean-Jacques Better, président de l'Umih 68, l'union des métiers et des industries de l'hôtellerie dans le Haut-Rhin. La hausse de prix et les difficultés d'approvisionnement conduiront bien à une augmentation des tarifs selon de nombreux professionnels voire carrément à un abandon provisoire des fritures. Certains restaurateurs ont déjà choisi de revoir leur carte et de limiter les fritures. "En tant qu'artisans de la restauration, nous savons trouver des alternatives notamment avec la graisse de bœuf ou de canard. Nous pouvons aussi opter pour des gratins ou des pommes sautées, ce que ne peut pas faire un fast-food", juge Jean Terlon vice-président de l'UMIH (Union des Métiers et des Industries Hôtelières) interrogé par La Dépêche.
Au delà de la pénurie, l'autre conséquence est l'envolée des cours... et donc des tarifs in fine pour les consommateurs. "Tout le monde fait des stocks, il y a pénurie, et donc les prix augmentent encore", explique à France-Bleu Alsace Jean-Jacques Better, président de l'Umih 68, l'union des métiers et des industries de l'hôtellerie dans le Haut-Rhin. La hausse de prix et les difficultés d'approvisionnement conduiront bien à une augmentation des tarifs selon de nombreux professionnels voire carrément à un abandon provisoire des fritures. Certains restaurateurs ont déjà choisi de revoir leur carte et de limiter les fritures. "En tant qu'artisans de la restauration, nous savons trouver des alternatives notamment avec la graisse de bœuf ou de canard. Nous pouvons aussi opter pour des gratins ou des pommes sautées, ce que ne peut pas faire un fast-food", juge Jean Terlon vice-président de l'UMIH (Union des Métiers et des Industries Hôtelières) interrogé par La Dépêche.
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