Il aimerait chasser plus souvent

Romain Bardet est aussi un homme de terroir. © JP PARIENTE/SIPA
Si Romain Bardet explique souvent avoir besoin d'être stimulé intellectuellement, il est aussi resté très proche de la nature, dont il ne profite pas assez à son goût.

"Enfant, je prenais de grands bols d'air avec mon grand-père, racontait-il dans le Journal du Dimanche en juillet 2016. Parfois, j'aimerais accompagner mon oncle et mon cousin à la chasse mais je ne peux pas le faire plus d'une ou deux fois par an. Renouer avec ces bonheurs simples sera l'une de mes priorités après le vélo. Je n'irai pas jusqu'à voter pour un candidat pro-chasse à la présidentielle mais je suis un défenseur des tripoux (NDLR : plat à base de tripes de veau, de panse de mouton, le tout attaché avec du boyau) au petit déjeuner pendant l'hiver.
Si Romain Bardet explique souvent avoir besoin d'être stimulé intellectuellement, il est aussi resté très proche de la nature, dont il ne profite pas assez à son goût. "Enfant, je prenais de grands bols d'air avec mon grand-père, racontait-il dans le Journal du Dimanche en juillet 2016. Parfois, j'aimerais accompagner mon oncle et mon cousin à la chasse mais je ne peux pas le faire plus d'une ou deux fois par an. Renouer avec ces bonheurs simples sera l'une de mes priorités après le vélo. Je n'irai pas jusqu'à voter pour un candidat pro-chasse à la présidentielle mais je suis un défenseur des tripoux (NDLR : plat à base de tripes de veau, de panse de mouton, le tout attaché avec du boyau) au petit déjeuner pendant l'hiver.
© JP PARIENTE/SIPA