Thierry Henry et le Ballon d'Or

En 2003, Thierry Henry a terminé 2e du classement du Ballon d'Or France Football. © L'Internaute Magazine / Jérémy Talbot

Toujours placé, jamais primé : c'est la maxime qui colle le plus à la situation de Thierry Henry dans la course au Ballon d'or France Football.

De 2000 à 2006, l'attaquant de l'équipe de France a toujours été cité parmi les 10 premiers du classement. C'est le seul à pouvoir revendiquer une telle régularité. Sur cette période, les plus régulièrement nominés sont, avec Henry, Zinédine Zidane et Andreï Shevchenko. Mais les Ballon d'Or 1998 et 2004 ne figurent pas dans le top 10 pendant deux saisons (2004 et 2005 pour Zidane, 2002 et 2006 pour Shevchenko).

Quatre fois, Thierry Henry a terminé à la quatrième place du classement. En 2006, le finaliste de la Ligue des champions et de la Coupe du monde s'est classé troisième. Son meilleur classement date de 2003. Deuxième derrière Pavel Nedved, le Français avait payé l'absence d'Arsenal en Coupe d'Europe.

D'autres grands joueurs ont connu une histoire d'amour contrariée avec le Ballon d'Or. C'est le cas du "Major galopant" Ferenc Puskas, deuxième en 1960 et quatre fois nominé dans le Top 10, sans jamais être sacré.

Toujours placé, jamais primé : c'est la maxime qui colle le plus à la situation de Thierry Henry dans la course au Ballon d'or France Football. De 2000 à 2006, l'attaquant de l'équipe de France a toujours été cité parmi les 10 premiers du classement. C'est le seul à pouvoir revendiquer une telle régularité. Sur cette période, les plus régulièrement nominés sont, avec Henry, Zinédine Zidane et Andreï Shevchenko. Mais les Ballon d'Or 1998 et 2004 ne figurent pas dans le top 10 pendant deux saisons (2004 et 2005 pour Zidane, 2002 et 2006 pour Shevchenko). Quatre fois, Thierry Henry a terminé à la quatrième place du classement. En 2006, le finaliste de la Ligue des champions et de la Coupe du monde s'est classé troisième. Son meilleur classement date de 2003. Deuxième derrière Pavel Nedved, le Français avait payé l'absence d'Arsenal en Coupe d'Europe. D'autres grands joueurs ont connu une histoire d'amour contrariée avec le Ballon d'Or. C'est le cas du "Major galopant" Ferenc Puskas, deuxième en 1960 et quatre fois nominé dans le Top 10, sans jamais être sacré.
© L'Internaute Magazine / Jérémy Talbot