Roger Federer voit rouge à l'US Open

Il arrive que Roger Federer sorte lui aussi de ses gonds. © L'Internaute Magazine - Marie Rialland

Avant que Roger Federer ne devienne le maître de sa discipline, le Suisse était perçu dans le mileu comme un joueur impatient, voire nerveux. Difficile aujourd'hui d'imaginer Federer dans de telles dispositions, et pourtant...

Il est arrivé que le n°1 mondial retombe dans ses travers de jeunesse. Très rares, ces accès de fièvre en sont d'autant remarqués et commentés.

1re alerte, en avril 2009 : face à Novak Djokovic, en demi-finale du Masters de Miami. Lors du 3e set, alors qu'il glissait dangeureusement vers l'élimination, Federer perd un point sur une énième faute de main. Hors de lui, le Suisse explose sa raquette de rage.

2e coup de sang, six mois plus tard : contre Juan Martin Del Potro, en finale de l'US Open. Agacé par une décision de l'arbitre, qui accorde à son adversaire le droit d'utiliser un "challenge" (le recours à la vidéo), Federer perd ses nerfs : "Je n'ai pas eu le droit de challenger après 2 secondes. Lui, il le fait après 10 (...) Ne me demandez pas d'être calme, d'accord. Quand j'ai envie de parler, je parle. Je n'en ai rien à f*** de ce qu'il a dit". Le Suisse écopera d'une amende de 1 500 $ pour cet incident.

Avant que Roger Federer ne devienne le maître de sa discipline, le Suisse était perçu dans le mileu comme un joueur impatient, voire nerveux. Difficile aujourd'hui d'imaginer Federer dans de telles dispositions, et pourtant... Il est arrivé que le n°1 mondial retombe dans ses travers de jeunesse. Très rares, ces accès de fièvre en sont d'autant remarqués et commentés. 1re alerte, en avril 2009 : face à Novak Djokovic, en demi-finale du Masters de Miami. Lors du 3e set, alors qu'il glissait dangeureusement vers l'élimination, Federer perd un point sur une énième faute de main. Hors de lui, le Suisse explose sa raquette de rage. 2e coup de sang, six mois plus tard : contre Juan Martin Del Potro, en finale de l'US Open. Agacé par une décision de l'arbitre, qui accorde à son adversaire le droit d'utiliser un "challenge" (le recours à la vidéo), Federer perd ses nerfs : "Je n'ai pas eu le droit de challenger après 2 secondes. Lui, il le fait après 10 (...) Ne me demandez pas d'être calme, d'accord. Quand j'ai envie de parler, je parle. Je n'en ai rien à f*** de ce qu'il a dit". Le Suisse écopera d'une amende de 1 500 $ pour cet incident.
© L'Internaute Magazine - Marie Rialland