Thierry Ardisson monte au créneau pour défendre Laurent Baffie

Thierry Ardisson monte au créneau pour défendre Laurent Baffie Samedi soir, Thierry Ardisson avait donné rendez-vous aux téléspectateurs de C8 pour un nouveau Salut les Terriens qui a réservé une séquence polémique avec Nolwenn Leroy.

Les téléspectateurs réunis devant Salut les Terriens samedi soir ont découvert, à l'occasion d'une séquence de l'émission, une blague de Laurent Baffie qui n'a pas du tout plu à tout le monde. En effet, l'humoriste de l'émission a relevé la robe de la chanteuse Nolwenn Leroy, expliquant agir pour l'audimat de l'émission : "Faut du cul, faut du cul". Thierry Ardisson a par la suite argué que c'était "pour l'audience" de Salut les Terriens. Nolwenn Leroy a quant à elle ri face à la plaisanterie tout en précisant bien : "Je le laisse faire parce que c'est Laurent. C'est mon ami."

Toutefois, la séquence semble avoir choqué beaucoup de téléspectateurs puisque de nombreux signalements ont été recensés par le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel qui a annoncé ce lundi avoir ouvert une enquête suite à "une grosse dizaine de signalements de la part des téléspectateurs." C'est la deuxième enquête ouverte en quelques jours autour de Salut les Terriens, suite à la séquence où avait été placée de la fausse cocaïne sur le plateau.

"Je fais ce que je veux !"

Thierry Ardisson a répondu à la polémique qui enfle autour de ces séquences auprès du blog de Jean-Marc Morandini : "Je trouve cela incroyable ! C'est Orwell ! On rêve ! Je suis un citoyen français qui répond aux lois de mon pays. Si une association de lutte contre le remonté de jupe m'attaque, très bien. Mais, moi, le CSA, je ne reconnais pas cette juridiction intermédiaire." Arguant que l'institution coûte 40 millions d'euros par an, il explique que "le CSA s'appuie sur des signalements, je déteste ce système de dénonciation anonyme. On se croirait en 1942, époque où les Français avaient déjà une fâcheuse tendance à dénoncer…" Et d'enfoncer le clou : "Je fais ce que je veux ! C'était une blague entre Laurent Baffie et Nolwenn Leroy qui sont par ailleurs très très potes !"