La formation-maison en danger ?

Recruter un international se fait au détriment des centres de formation. © Nasko - Fotolia.com / Photomontage L'Internaute

Le constat s'impose de lui-même : les jeunes formés au club subissent de plein fouet la concurrence des internationaux recrutés. C'est vrai en Italie (plus faible proportion d'espoirs dans l'effectif), c'est d'autant plus flagrant chez les nouveaux riches de Russie.

Malgré la présence de quotas limitant le nombre d'étrangers, le pourcentage de locaux a chuté de moitié depuis 2009, tombant à 12,2% de l'effectif professionnel.

A l'inverse, les bons élèves se trouvent principalement en Islande (le championnat emploie 43,4% de joueurs-maison), la croissance la plus forte étant enregistrée en Autriche (+ 45 points).

Le constat s'impose de lui-même : les jeunes formés au club subissent de plein fouet la concurrence des internationaux recrutés. C'est vrai en Italie (plus faible proportion d'espoirs dans l'effectif), c'est d'autant plus flagrant chez les nouveaux riches de Russie. Malgré la présence de quotas limitant le nombre d'étrangers, le pourcentage de locaux a chuté de moitié depuis 2009, tombant à 12,2% de l'effectif professionnel. A l'inverse, les bons élèves se trouvent principalement en Islande (le championnat emploie 43,4% de joueurs-maison), la croissance la plus forte étant enregistrée en Autriche (+ 45 points).
© Nasko - Fotolia.com / Photomontage L'Internaute