Elodie Gossuin : pas élue

Elodie Gossuin, Miss France 2001 et Miss Europe 2002 © L'Internaute - Agathe Azzis

Miss France 2001 et miss Europe 2002 briguait un second mandat en Picardie en se présentant en 7e position éligible sur la liste UMP de Caroline Cayeux dans l'Oise.

Le contexte avant l'élection (04/03/2010)

Elodie Gossuin persiste et signe. Inscrite sur la liste UMP menée par Gilles de Robien dans la Somme, en Picardie, l'ex Miss est devenue conseillère régionale en 2004. Six ans plus tard, celle dont la candidature puis l'élection avait fait de nombreux sceptiques, aussi bien à gauche que dans les rangs de la majorité, est désormais considérée comme une adversaire sérieuse. Sillonnant les marchés picards, sourire aux lèvres, à la rencontre des électeurs, la conseillère régionale haute en couleur a réussi à convaincre de sa crédibilité en politique. Et pourtant ses débuts n'ont pas été faciles. Souvenez-vous : une tempête de critiques s'était abattue sur elle lorsqu'elle avait dû quitter subitement le plateau d'une émission de téléréalité très rustique à cause de ses obligations d'élue. Mais cela ne l'a pas découragée pour autant. Elle voit même plus loin en pensant à l'Assemblée nationale. La Marianne peut s'estimer prévenue.

Miss France 2001 et miss Europe 2002 briguait un second mandat en Picardie en se présentant en 7e position éligible sur la liste UMP de Caroline Cayeux dans l'Oise.Le contexte avant l'élection (04/03/2010) Elodie Gossuin persiste et signe. Inscrite sur la liste UMP menée par Gilles de Robien dans la Somme, en Picardie, l'ex Miss est devenue conseillère régionale en 2004. Six ans plus tard, celle dont la candidature puis l'élection avait fait de nombreux sceptiques, aussi bien à gauche que dans les rangs de la majorité, est désormais considérée comme une adversaire sérieuse. Sillonnant les marchés picards, sourire aux lèvres, à la rencontre des électeurs, la conseillère régionale haute en couleur a réussi à convaincre de sa crédibilité en politique. Et pourtant ses débuts n'ont pas été faciles. Souvenez-vous : une tempête de critiques s'était abattue sur elle lorsqu'elle avait dû quitter subitement le plateau d'une émission de téléréalité très rustique à cause de ses obligations d'élue. Mais cela ne l'a pas découragée pour autant. Elle voit même plus loin en pensant à l'Assemblée nationale. La Marianne peut s'estimer prévenue.
© L'Internaute - Agathe Azzis