Labels : du flou hors Europe

En Europe, des labels comme Bio Cohérence appliquent des critères plus stricts que les pouvoirs publics © Frédéric David - Galerie Linternaute.com
Deux labels majeurs sont visibles sur les étiquettes. D'un côté le label français Agriculture biologique (AB), de l'autre, le label bio de l'Union européenne. Les règles sont désormais harmonisées : dans les deux cas l'usage des produits chimiques de synthèse est interdit, les animaux doivent avoir accès à l'air et un seuil maximal théorique de 0,9 % d'OGM est toléré (voir par ailleurs). Des contrôles de qualités effectués chez les producteurs doivent assurer le respect de ces normes. En France, c'est la DGCCRF qui effectuent ces vérifications. Mais ailleurs, ce sont par exemple les régions qui jouent ce rôle, théoriquement tous les ans. Si les produits européens sont globalement fiables, peu de garanties existent sur ceux qui sont importés depuis le reste du monde. De nombreux labels peu fiables peuvent ainsi tromper les consommateurs. 
Deux labels majeurs sont visibles sur les étiquettes. D'un côté le label français Agriculture biologique (AB), de l'autre, le label bio de l'Union européenne. Les règles sont désormais harmonisées : dans les deux cas l'usage des produits chimiques de synthèse est interdit, les animaux doivent avoir accès à l'air et un seuil maximal théorique de 0,9 % d'OGM est toléré (voir par ailleurs). Des contrôles de qualités effectués chez les producteurs doivent assurer le respect de ces normes. En France, c'est la DGCCRF qui effectuent ces vérifications. Mais ailleurs, ce sont par exemple les régions qui jouent ce rôle, théoriquement tous les ans. Si les produits européens sont globalement fiables, peu de garanties existent sur ceux qui sont importés depuis le reste du monde. De nombreux labels peu fiables peuvent ainsi tromper les consommateurs. 
© Frédéric David - Galerie Linternaute.com