Alimentation du futur : les algues, nutriment le plus complet !

Spiruline. © Sebastien SALOM-GOMIS/SIPA (publiée le 22/02/2023)

Selon Jean-Louis Vidalo, médecin du sport, expert auprès de l'ONU et auteur de "Spiruline, l'algue bleue de santé et de prévention" (Ed. du Dauphin), les algues sont "le nutriment le plus complet : plus de 60 % de protéines avec tous les acides aminés, des acides gras, des vitamines (B1, B6, B12), des enzymes et des pigments (bêtacarotène, chlorophylle...)". Peu gourmandes en énergie, "les microalgues croissent rapidement et présentent de ce fait des rendements à l'hectare près de dix fois supérieurs à ceux des végétaux terrestres cultivés" soulignait Pierre Colas - chargé de recherche à la station biologique de Roscoff (Finistère) - auprès de l'Inserm en 2020. Comme elles consomment du CO2 (via la photosynthèse), elles peuvent en prime le capturer si elles sont cultivées près de pôles industriels, et ainsi contribuer à limiter le réchauffement climatique.

Selon Jean-Louis Vidalo, médecin du sport, expert auprès de l'ONU et auteur de "Spiruline, l'algue bleue de santé et de prévention" (Ed. du Dauphin), les algues sont "le nutriment le plus complet : plus de 60 % de protéines avec tous les acides aminés, des acides gras, des vitamines (B1, B6, B12), des enzymes et des pigments (bêtacarotène, chlorophylle...)". Peu gourmandes en énergie, "les microalgues croissent rapidement et présentent de ce fait des rendements à l'hectare près de dix fois supérieurs à ceux des végétaux terrestres cultivés" soulignait Pierre Colas - chargé de recherche à la station biologique de Roscoff (Finistère) - auprès de l'Inserm en 2020. Comme elles consomment du CO2 (via la photosynthèse), elles peuvent en prime le capturer si elles sont cultivées près de pôles industriels, et ainsi contribuer à limiter le réchauffement climatique.
© Sebastien SALOM-GOMIS/SIPA (publiée le 22/02/2023)