Les insectes, incontournables dans notre alimentation du futur ?

A Nice, le restaurant Mayame propose des salades avec insectes comestibles. © SYSPEO/SIPA (publiée le 22/02/2023)

Les insectes font déjà partie de l'alimentation de quelque deux milliards de personnes, et leur démocratisation dans nos assiettes serait bénéfique pour la planète, selon la FAO. Ils ont "un taux de conversion alimentaire élevé, par exemple les grillons ont besoin de six fois moins de nourriture que les bovins, quatre fois moins que les moutons et deux fois moins que les porcs et les poulets de chair pour produire la même quantité de protéines", note l'organisme de l'ONU. Les élevages d'insectes émettent en prime moins de gaz à effet de serre et d'ammoniac que ceux de viande. En plus de vitamines et acides aminés bénéfiques à l'homme, les insectes contiennent un max de protéines. D'après la FAO, les criquets chapulines cachent ainsi jusqu'à 48 g de protéines pour 100 g, contre 28 g sur 100 g pour le bœuf. Et si on est dégoûté par ces petites bêtes, on peut les consommer mixées à d'autres aliments !

Les insectes font déjà partie de l'alimentation de quelque deux milliards de personnes, et leur démocratisation dans nos assiettes serait bénéfique pour la planète, selon la FAO. Ils ont "un taux de conversion alimentaire élevé, par exemple les grillons ont besoin de six fois moins de nourriture que les bovins, quatre fois moins que les moutons et deux fois moins que les porcs et les poulets de chair pour produire la même quantité de protéines", note l'organisme de l'ONU. Les élevages d'insectes émettent en prime moins de gaz à effet de serre et d'ammoniac que ceux de viande. En plus de vitamines et acides aminés bénéfiques à l'homme, les insectes contiennent un max de protéines. D'après la FAO, les criquets chapulines cachent ainsi jusqu'à 48 g de protéines pour 100 g, contre 28 g sur 100 g pour le bœuf. Et si on est dégoûté par ces petites bêtes, on peut les consommer mixées à d'autres aliments !
© SYSPEO/SIPA (publiée le 22/02/2023)