La blague de Deschamps

© David Vincent/AP/SIPA
Vendredi 15 juin - Le docu à la gloire de Griezmann, réalisé pour une pure raison marketing, à deux jours de France–Australie emballe les commentateurs. "Timing catastrophique", "pression supplémentaire pour lui et pour les Bleus", "mise en scène qui fait passer son intérêt personnel avant celui de l'équipe", caprice d'un "gendre idéal qui devient un petit con comme les autres"… Les critiques fusent, notamment venues des champions de 1998. Et c'est sans compter un Barça qui se sent floué et menace de porter plainte. En conférence de presse, Didier Deschamps tente de détendre l'atmosphère. Heureux que la décision de Griezmann ait été prise avant le début du Mondial, il plaisante : "C'est moi qui ai filmé".
Vendredi 15 juin - Le docu à la gloire de Griezmann, réalisé pour une pure raison marketing, à deux jours de France–Australie emballe les commentateurs. "Timing catastrophique", "pression supplémentaire pour lui et pour les Bleus", "mise en scène qui fait passer son intérêt personnel avant celui de l'équipe", caprice d'un "gendre idéal qui devient un petit con comme les autres"… Les critiques fusent, notamment venues des champions de 1998. Et c'est sans compter un Barça qui se sent floué et menace de porter plainte. En conférence de presse, Didier Deschamps tente de détendre l'atmosphère. Heureux que la décision de Griezmann ait été prise avant le début du Mondial, il plaisante : "C'est moi qui ai filmé".
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