Georges Tron

Georges Tron © Sébastien Calvet pour Acteurs publics

L'affaire DSK at-elle provoquée indirectement l'affaire Tron ? Pendant que le patron du FMI vivait des heures sombres à New York, des charges accablantes s'abattaient, en France, sur le secrétaire d'Etat à la Fonction publique. En tant que maire de Draveil, Georges Tron a été accusé fin mai 2011 par deux ex-employées de l'hôtel de ville de viols. Des agressions présumées qui auraient commencé par... des massages de pieds. Georges Tron est en effet un adepte de la réflexologie, une discipline médicale qui permettrait de guérir n'importe quelle partie du corps grâce à des massages sur les mains ou les pieds.

Une garde à vue

Georges Tron clame depuis son innocence. Mais, avérée ou non, l'affaire lui a déjà valu de quitter son poste au gouvernement le 29 mai 2011, une longue garde à vue les 20 et 21 juin, la suspicion d'une partie de la classe politique mais aussi bon nombre de moqueries au sujet de son attirance supposée pour les pieds. Le 23 juin, l'ancien ministre a été mis en examen pour viols et laissé en liberté sous contrôle judiciaire. L'une de ses adjointes à la mairie de Draveil a aussi été mise en examen. Si Georges Tron a pu retrouver son siège de député, l'affaire est toujours en cours aujourd'hui.

L'affaire DSK at-elle provoquée indirectement l'affaire Tron ? Pendant que le patron du FMI vivait des heures sombres à New York, des charges accablantes s'abattaient, en France, sur le secrétaire d'Etat à la Fonction publique. En tant que maire de Draveil, Georges Tron a été accusé fin mai 2011 par deux ex-employées de l'hôtel de ville de viols. Des agressions présumées qui auraient commencé par... des massages de pieds. Georges Tron est en effet un adepte de la réflexologie, une discipline médicale qui permettrait de guérir n'importe quelle partie du corps grâce à des massages sur les mains ou les pieds. Une garde à vue Georges Tron clame depuis son innocence. Mais, avérée ou non, l'affaire lui a déjà valu de quitter son poste au gouvernement le 29 mai 2011, une longue garde à vue les 20 et 21 juin, la suspicion d'une partie de la classe politique mais aussi bon nombre de moqueries au sujet de son attirance supposée pour les pieds. Le 23 juin, l'ancien ministre a été mis en examen pour viols et laissé en liberté sous contrôle judiciaire. L'une de ses adjointes à la mairie de Draveil a aussi été mise en examen. Si Georges Tron a pu retrouver son siège de député, l'affaire est toujours en cours aujourd'hui.
© Sébastien Calvet pour Acteurs publics