Petits et grands secrets des rugbymen tricolores

Naviguez au clavier

Précédent Suivant
Les p'tits secrets des rugbymen français
Thierry Dusautoir, capitaine de l'équipe de France de rugby et du Stade Toulousain. © Pierre Malinverni

Saviez-vous que, parmi les rugbymen français en route pour le Mondial, se cachent un ingénieur en physique-chimie, un fils de sélectionneur et un ancien éboueur ?

Thierry Dusautoir, le Black Destroyer

 Le capitaine des Bleus est né à Abidjan, capitale de la Côte-d'Ivoire, où son enseignant de père a vécu et rencontré sa femme. Il a quitté l'Afrique à l'âge de 10 ans direction Périgueux.

Outre le "Fidjien", Thierry Dusautoir est surnommé "Black Destroyer" (Sombre Destructeur) par les médias anglo-saxons. Un souvenir du mythique France-Nouvelle Zélande joué au Mondial-2007, rencontre au cours de laquelle il marque un essai et réalise 36 plaquages ! Deux ans plus tard, il récidive en dominant les All Blacks à Dunedin pour son premier capitanat (1re victoire des Bleus en Nouvelle-Zélande depuis 1994).

Le joueur préféré de sa mère, l'Ivoirien Max Brito, s'était blessé très durement lors du Mondial-95. Du coup, celle-ci interdisait à Thierry de jouer au rugby. Judoka jusqu'au lycée, il taquina la balle ovale pendant plusieurs mois dans le plus grand secret.

Alors qu'il rêvait de devenir pilote de chasse, le flanker toulousain s'est tourné vers des études de physique-chimie. Il a obtenu son diplôme d'ingénieur en chimie des matériaux en 2006.

Saviez-vous que, parmi les rugbymen français en route pour le Mondial, se cachent un ingénieur en physique-chimie, un fils de sélectionneur et un ancien éboueur ? Thierry Dusautoir, le Black Destroyer  Le capitaine des Bleus est né à Abidjan, capitale de la Côte-d'Ivoire, où son enseignant de père a vécu et rencontré sa femme. Il a quitté l'Afrique à l'âge de 10 ans direction Périgueux. Outre le "Fidjien", Thierry Dusautoir est surnommé "Black Destroyer" (Sombre Destructeur) par les médias anglo-saxons. Un souvenir du mythique France-Nouvelle Zélande joué au Mondial-2007, rencontre au cours de laquelle il marque un essai et réalise 36 plaquages ! Deux ans plus tard, il récidive en dominant les All Blacks à Dunedin pour son premier capitanat (1re victoire des Bleus en Nouvelle-Zélande depuis 1994). Le joueur préféré de sa mère, l'Ivoirien Max Brito, s'était blessé très durement lors du Mondial-95. Du coup, celle-ci interdisait à Thierry de jouer au rugby. Judoka jusqu'au lycée, il taquina la balle ovale pendant plusieurs mois dans le plus grand secret. Alors qu'il rêvait de devenir pilote de chasse, le flanker toulousain s'est tourné vers des études de physique-chimie. Il a obtenu son diplôme d'ingénieur en chimie des matériaux en 2006.
© Pierre Malinverni