Le salaire de Stéphane Guillon révélé au public, il assume mais contre-attaque

Stéphane Guillon présent à un rassemblement de soutien à la chaîne iTélé en octobre 2016 © Tristan Reynaud/SIPA
Tout commence dans l'émission Touche pas à mon poste. Alors que Cyril Hanouna dresse une liste des chroniqueurs de télévision les mieux payés du PAF, il fait découvrir à ses nombreux téléspectateurs le salaire de Stéphane Guillon qu'il présente comme le "champion des chroniqueurs" avec une paie de 10 000 euros par chronique dans Salut les Terriens. Selon les calculs du présentateur, cela représente donc "2 000 euros la minute". Bien sûr, cette séquence a fortement déplu à l'humoriste qui s'est empressé de répondre via une vidéo publiée sur son compte Twitter. Bien que Stéphane Guillon semble assumer, "Tu t'es trompé, c'est pas 10 000 euros, c'est plus. Tu as oublié les droits d'auteur", il aurait préféré être prévenu. "Tu aurais dû m'appeler, on était très potes sur Comédie." Puis il rappelle que la boîte de production de Cyril Hanouna a signé un contrat de 250 millions d'euros sur cinq ans, soit 50 millions d'euros par an. Les coups de griffes ne font que commencer.
Tout commence dans l'émission Touche pas à mon poste. Alors que Cyril Hanouna dresse une liste des chroniqueurs de télévision les mieux payés du PAF, il fait découvrir à ses nombreux téléspectateurs le salaire de Stéphane Guillon qu'il présente comme le "champion des chroniqueurs" avec une paie de 10 000 euros par chronique dans Salut les Terriens. Selon les calculs du présentateur, cela représente donc "2 000 euros la minute". Bien sûr, cette séquence a fortement déplu à l'humoriste qui s'est empressé de répondre via une vidéo publiée sur son compte Twitter. Bien que Stéphane Guillon semble assumer, "Tu t'es trompé, c'est pas 10 000 euros, c'est plus. Tu as oublié les droits d'auteur", il aurait préféré être prévenu. "Tu aurais dû m'appeler, on était très potes sur Comédie." Puis il rappelle que la boîte de production de Cyril Hanouna a signé un contrat de 250 millions d'euros sur cinq ans, soit 50 millions d'euros par an. Les coups de griffes ne font que commencer.
© Tristan Reynaud/SIPA