Joakim Noah régale un chroniqueur basket

Joakim Noah devenu titulaire chez les Bulls, le journaliste Rick Morrissey a perdu son pari... et mangé ses papiers. © L'Internaute Magazine - Jérémy Talbot

En 2007, l'arrivée de Joakim Noah en NBA déclenche de vives réactions. Pourquoi les Chicago Bulls recrutent-ils celui que ses amis surnomment Stick Man ("la brindille") ? Les fans des Bulls, nostalgiques d'une gloire passée, ne comprennent pas non plus cette stratégie. Pour ne rien arranger, Joakim Noah débarque à la Draft dans un costume extravagant, "superfunky", avec nœud papillon, casquette et coiffure afro déroutante.

Le lendemain, le Chicago Tribune titre "You must be Joakim", une référence à l'expression "you must be joking" qui signifie "tu veux rire ?" En page 4, le chroniqueur Rick Morrissey affirme qu'il est prêt à manger son article avec de la sauce si Noah devient un joueur d'envergure chez les Bulls.

Moqueries et scepticisme

Problème de poids, retard à l'entraînement, mauvaise technique, propos maladroits à l'encontre de Michael Jordan... Les débuts du Français, transparent pendant un an et demi, donnent raison à Morrissey. Mais sur le long terme, Joakim Noah parvient à s'imposer dans le 5 majeur et Rick Morrissey doit reconnaître son erreur : "Je pense ne jamais avoir eu aussi tort en tant que journaliste (...) Derrick Rose est le meilleur joueur de cette équipe, mais Noah en est le cœur et l'âme".

Devant un Joakim Noah hilare (voir la vidéo), le journaliste américain s'est par la suite rendu à un entraînement des Bulls afin de réaliser sa promesse : manger sa chronique avec une sauce en accompagnement !

En 2007, l'arrivée de Joakim Noah en NBA déclenche de vives réactions. Pourquoi les Chicago Bulls recrutent-ils celui que ses amis surnomment Stick Man ("la brindille") ? Les fans des Bulls, nostalgiques d'une gloire passée, ne comprennent pas non plus cette stratégie. Pour ne rien arranger, Joakim Noah débarque à la Draft dans un costume extravagant, "superfunky", avec nœud papillon, casquette et coiffure afro déroutante. Le lendemain, le Chicago Tribune titre "You must be Joakim", une référence à l'expression "you must be joking" qui signifie "tu veux rire ?" En page 4, le chroniqueur Rick Morrissey affirme qu'il est prêt à manger son article avec de la sauce si Noah devient un joueur d'envergure chez les Bulls. Moqueries et scepticisme Problème de poids, retard à l'entraînement, mauvaise technique, propos maladroits à l'encontre de Michael Jordan... Les débuts du Français, transparent pendant un an et demi, donnent raison à Morrissey. Mais sur le long terme, Joakim Noah parvient à s'imposer dans le 5 majeur et Rick Morrissey doit reconnaître son erreur : "Je pense ne jamais avoir eu aussi tort en tant que journaliste (...) Derrick Rose est le meilleur joueur de cette équipe, mais Noah en est le cœur et l'âme". Devant un Joakim Noah hilare (voir la vidéo), le journaliste américain s'est par la suite rendu à un entraînement des Bulls afin de réaliser sa promesse : manger sa chronique avec une sauce en accompagnement !
© L'Internaute Magazine - Jérémy Talbot