Un match gagné sous amphétamines ?

© COLIN MAX/SIPA (publiée le 05/09/2023)
Une "bataille", une "sauvagerie"... Les termes guerriers pour désigner le deuxième test-match entre la France et la Nouvelle-Zélande en 1986 ne manquent pas. A Nantes, les Bleus s'étaient imposés 16-3 dans une rencontre qui a marqué tous les acteurs par sa rugosité... et les soupçons qui ont pesé au-dessus des Français, tant leur métamorphose une semaine après une défaite à Toulouse fut criante. 

Pour Wayne Shelford (3e ligne Néo-Z), les joueurs de Jacques Fouroux étaient sous amphétamines, ce stimulant qui désinhibe. Mais pas que. Jacques Mombet, médecin des Bleus entre 1975 et 1995, l'a également affirmé. Pour lui, cette rencontre fut celle où "cela s'est vu le plus". Mais jamais personne ne l'a confirmé et l'affaire aurait vite été enterrée. La gagne avant tout. 
Une "bataille", une "sauvagerie"... Les termes guerriers pour désigner le deuxième test-match entre la France et la Nouvelle-Zélande en 1986 ne manquent pas. A Nantes, les Bleus s'étaient imposés 16-3 dans une rencontre qui a marqué tous les acteurs par sa rugosité... et les soupçons qui ont pesé au-dessus des Français, tant leur métamorphose une semaine après une défaite à Toulouse fut criante.  Pour Wayne Shelford (3e ligne Néo-Z), les joueurs de Jacques Fouroux étaient sous amphétamines, ce stimulant qui désinhibe. Mais pas que. Jacques Mombet, médecin des Bleus entre 1975 et 1995, l'a également affirmé. Pour lui, cette rencontre fut celle où "cela s'est vu le plus". Mais jamais personne ne l'a confirmé et l'affaire aurait vite été enterrée. La gagne avant tout. 
© COLIN MAX/SIPA (publiée le 05/09/2023)