L'option heures pleines-heures creuses vaut-elle toujours le coup ?

© Piotr Adamowicz / 123rf.com
Bien souvent, c'est un contrat présenté comme plus avantageux par les conseillers des fournisseurs d'énergie, comme le signalait déjà 60 millions de consommateurs en 2010. L'option tarifaire heures pleines-heures creuses est économique a priori dans la mesure où elle permet de consommer une électricité moins chère la nuit, entre 22 heures et 6 heures. Elle est donc plus adaptée au profil d'un client qui consomme plus d'électricité la nuit que le jour. Dans son édition d'octobre 2019, 60 millions de consommateurs nuance encore l'avantage présumé de ce tarif.

Selon les calculs du magazine, un foyer qui consomme 7 500 kWh par an, pour une puissance souscrite de 9 kVA, "doit réaliser presque la moitié de sa consommation en heures creuses pour commencer à être gagnant". Pour lui, il est donc préférable d'abandonner l'abonnement en heures pleines-heures creuses et de repasser au tarif de base, grâce auquel il gagnera 48 euros.
Bien souvent, c'est un contrat présenté comme plus avantageux par les conseillers des fournisseurs d'énergie, comme le signalait déjà 60 millions de consommateurs en 2010. L'option tarifaire heures pleines-heures creuses est économique a priori dans la mesure où elle permet de consommer une électricité moins chère la nuit, entre 22 heures et 6 heures. Elle est donc plus adaptée au profil d'un client qui consomme plus d'électricité la nuit que le jour. Dans son édition d'octobre 2019, 60 millions de consommateurs nuance encore l'avantage présumé de ce tarif. Selon les calculs du magazine, un foyer qui consomme 7 500 kWh par an, pour une puissance souscrite de 9 kVA, "doit réaliser presque la moitié de sa consommation en heures creuses pour commencer à être gagnant". Pour lui, il est donc préférable d'abandonner l'abonnement en heures pleines-heures creuses et de repasser au tarif de base, grâce auquel il gagnera 48 euros.
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