Le salbutamol et l'ombre du dopage

© Peter Dejong/AP/SIPA
Depuis les années Armstrong, le public a appris à se méfier : la supériorité d'un coureur sur le Tour de France amène inévitablement son lot de questions et les soupçons de dopage ne sont jamais loin. Chris Froome est d'autant plus pointé du doigt qu'il a subi, l'an passé, un contrôle dit "anormal" au salbutamol.

Après des mois de batailles d'experts et d'avocats et juste après que l'organisation du Tour ait fait savoir que Froome n'était pas le bienvenu sur la Grande Boucle 2018, le coureur britannique a finalement été blanchi par l'UCI, qui a suivi les conclusions de l'Agence mondiale antidopage, estimant que le taux excessif de salbutamol, utilisé pour soigner l'asthme, ne constituait pas un contrôle positif.
Depuis les années Armstrong, le public a appris à se méfier : la supériorité d'un coureur sur le Tour de France amène inévitablement son lot de questions et les soupçons de dopage ne sont jamais loin. Chris Froome est d'autant plus pointé du doigt qu'il a subi, l'an passé, un contrôle dit "anormal" au salbutamol. Après des mois de batailles d'experts et d'avocats et juste après que l'organisation du Tour ait fait savoir que Froome n'était pas le bienvenu sur la Grande Boucle 2018, le coureur britannique a finalement été blanchi par l'UCI, qui a suivi les conclusions de l'Agence mondiale antidopage, estimant que le taux excessif de salbutamol, utilisé pour soigner l'asthme, ne constituait pas un contrôle positif.
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